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Petits riens

    Around the world

    Du sable et des Roses

    Du 11 au 21 octobre a eu lieu un rallye que vous connaissez peut-être, je veux parler du Trophée Roses des Sables.

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    Ce  rallye 100% féminin a été créé en 2000 par Jean-Jacques Rey, lui-même pilote de rallye. Il s’agit d’une course d’orientation sur 10 jours dans le désert Marocain. Une sorte de Paris-Dakar au féminin vous allez me dire… ?! Oui mais pas que… Car ici point de vitesse, il faut savoir s’orienter et ne pas s’ensabler !

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    Cette année, au départ, elles étaient 362 femmes. A bord de 4×4, quads, buggys ou motos, elles sont parties depuis le sud de la France, ont traversé l’Espagne puis ont affronté les dunes de sable, le tout dans une ambiance festive et un réel esprit de solidarité !

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    Car c’est bien le maître mot de ce raid, la Solidarité.

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    En effet, au travers de l’association « Enfants du Désert », cette année ce sont 35 tonnes de matériel scolaire ainsi que des produits d’hygiène comme des biberons, des savons et des vêtements, qui ont été distribués aux enfants marocains. Sans parler des consultations pédiatriques, des appareils auditifs, des lunettes et autres béquilles et fauteuils roulants…

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    Solidarité également en France, pour les femmes seules avec enfants, à travers l’opération « Roses Solidaires-Croix Rouge ». Opération lancée en 2011 et renouvelée en 2012, qui a permis de recueillir 2746 kg de nourriture et vêtements.

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    Et parce que ce sont des femmes, cette année l’organisation du rallye a soutenu l’association « Cancer du Sein, parlons-en », en formant avec toutes les participantes un immense ruban rose et en versant 1 euro/km parcouru, soit près de 6000€.

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    Solidarité enfin entre les participantes elles-mêmes lorsque le sable avait raison des véhicules, pour repartir toutes ensembles vers la ligne d’arrivée.

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    Bien sûr l’éco-citoyenneté est également au rendez-vous. Les road-book sont imprimés sur du papier recyclé, les pistes et bivouacs sont laissés propres, les limitations de vitesse sont respectées afin de ne pas polluer le désert…

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    A travers les 9 étapes que compte le rallye, ces femmes ont relevé haut la main ce défi sportif et ont repoussé leurs limites au-delà de l’inimaginable ! Et pourtant à les voir sur les photos, aussi souriantes et « belles », malgré les ennuis mécaniques, le sable et tout le reste, un sentiment de liberté me vient à l’esprit et me donne presque envie de participer à cette course du cœur !

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    D’ailleurs les dates de l’année prochaine sont déjà connues, le 13ème Trophée Roses des Sables aura lieu du 10 au 20 octobre 2013. Vous en serez ?

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    Pour revivre l’édition 2012, c’est ici !

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    Moi mais pas que...

    Si je bossais à 80%…

    Si je bossais à 80%, je ne travaillerais pas le mercredi…

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    Je me lèverais vers 8h et je prendrais mon petit-déjeuner tranquillement.

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    Vers 9h, j’irais faire mes 2 tours de lac en courant.

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    De retour à la maison, avant d’aller prendre ma douche, je consulterais mes mails et lirais mes blogs préférés en attendant d’arrêter de transpirer (ben oui sinon la douche, elle sait à rien…!).

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    Une fois lavée et habillée… et coiffée et maquillée (oui, car c’est pas parce qu’on reste à la maison qu’il faut se négliger…), je m’attellerais à mon blog, en rédigeant un ou deux billets. Ou en faisant quelques photos pour illustrer un billet.

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    Ou alors j’aurais une séance de « baby-shooting ». Dans ce cas-là, le sport serait reporté à l’après-midi une date ultérieure. Et la matinée entièrement consacrée à cette séance !

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    Puis l’heure de déjeuner arriverait. Une tranche de jambon, une soupe, un yaourt serait le repas parfait pour ma ligne…

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    L’après-midi, en fonction de la saison : l’hiver je m’occuperais à lire, à écouter de la musique, à surfer pour trouver des idées de sorties et de prochains billets pour ce blog… Ou alors à traiter les photos de la séance photos du matin…

    L’été, j’en profiterais pour sortir flâner sur Paris…

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    Vers 18h, si j’étais sortie, je serais de retour à la maison. Je ferais peut-être un brin de ménage ou de repassage… Ou alors rien de tout de cela.

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    Puis vers 19h, j’allumerais la télé et préparerais commencerais à préparer le repas du soir…

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    Puis mon homme rentrerait et me demanderait si ma journée s’est bien passée. Ce à quoi je répondrais « mouaich, j’ai pas fait grand-chose… » ! ^_^

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    Ouais je vous l’accorde, l’écran de mon portable est crado !

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    Bonne journée !

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    Adresses, Food

    La Maison Ladurée

    Ladurée tout le monde connait… Enfin tout le monde connait leurs « famous » macarons ! Mais peut-être que certain(e)s ignorent que Ladurée, ce sont également des salons de thé. Et qu’ils ne servent pas « que » des macarons.

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    Dimanche, il faisait beau, alors avec mon homme, nous sommes allés nous balader en 2 roues. Le scoot nous a mené vers la place de la Madeleine, plus exactement rue Royale, devant le salon de thé Ladurée. Après quelques minutes d’attente à l’extérieur, nous pénétrons dans un lieu très cosy, avec des plafonds décorés de petits anges.

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    La Maison Ladurée Royale est en réalité la toute première boutique de Louis Ernest Ladurée. A l’origine c’était une boulangerie, puis c’est devenu une pâtisserie et de nos jours un salon de thé.

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    Mais revenons à nous. Comme je le disais au début, Ladurée ce n’est pas que les macarons. Le salon de thé propose un choix de pâtisseries suffisant pour que tous les gourmands y trouvent leur bonheur, des tartes, des millefeuilles, des gâteaux, des glaces… Le tout pouvant être accompagné de thés, cafés et autres boissons.

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    Mon homme a opté pour un millefeuille au praliné et moi pour un « plaisirs sucrés » (non, non y a pas de faute, c’est bien au pluriel…).

    Il s’agit d’une Dacquoise aux noisettes concassées, praliné croustillant, fines feuilles de chocolat au lait, ganache, chantilly chocolat au lait. Un délice ! Et il faudra me croire sur parole ! ^_^

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    J’ai beaucoup aimé le lieu et l’ambiance qui s’y dégage. En plein de cœur de Paris, c’était vraiment une pause douceur et feutrée très agréable.

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    Pour en savoir plus sur l’origine des salons de thé et le pourquoi du comment de leur avantage par rapport aux cafés, je vous invite à lire l’histoire de la Maison Ladurée !

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    Bonne journée !

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    Moi mais pas que...

    Un dimanche de pluie…

    Un dimanche de pluie, c’est se lever et constater qu’il pleut… CQFD !

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    Du coup, c’est renoncer à aller courir… Et passer la matinée à regarder des films « doudous » à la télé (en l’occurrence l’Arnacoeur avec Vanessa Paradis et Romain Duris)…

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    C’est passer l’après-midi à scrapper et à se vernir les ongles…

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    C’est prendre un bon café à 4 heures…

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    Et c’est bien sûr surfer et bloguer !

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    Et chez vous, ça se passe comment un dimanche de pluie ?

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    Bonne journée !


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    Moi mais pas que...

    C’est la rentrée ! Ah ouais ?

    Et oui hier, je faisais moi aussi ma rentrée… au boulot ! Après 9 jours de formation… Et pour 4 jours, car après ce sont les vacances ! Youpi !

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    Petit bilan sur ma formation. C’était vraiment génial ! J’ai appris beaucoup de choses, aussi bien théoriques que pratiques. L’école est bien équipée côté matériel, j’ai pu « m’amuser » avec un Canon 5D Mark II et des objectifs de qualité professionnelle.

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    Techniquement, je sais désormais tout des différents systèmes de visées des appareils photo, je sais comment la lumière entre dans l’appareil et comment elle arrive sur le capteur, je sais également tout sur l’obturateur, les photodiodes et les objectifs…

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    Voilà, ça c’est pour la théorie. Pour la pratique, je sais enfin mesurer ma lumière, réfléchie ou incidente, étalonner ma balance des blancs manuellement, utiliser un flash cobra, régler mon couple vitesse/diaphragme en mode manuel, développer mes RAW…

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    Alors concrètement est-ce que cela va se voir sur mes photos ? Je ne sais pas… Voyez-vous une différence entre les 2 photos ci-dessous ?

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    Même prise de vue, même post-traitement… Non, vous ne voyez pas ? Bon allez je vous le dis : celle de gauche a été prise en mode « priorité ouverture » (le mode que j’utilise tout le temps) et celle de droite en mode « manuel »… A moins que ce soit le contraire… ? ^_^

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    Tout cela pour vous montrer que malgré la formation, ce n’est pas évident que cela transparaisse à travers mes photos… Cependant, grâce à elle, je sais que désormais je peux me sortir d’à peu près n’importe quelle situation. Et ça, c’est vraiment cool !

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    Et sinon, cette photo représente quoi ? Ah surprise, vous le découvrirez bientôt…

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    Bonne journée !

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    Moi mais pas que...

    En attendant les vacances…

    Hé oui alors que certaines reprennent le chemin du travail, moi j’attends mes vacances, avec impatience…! Mais ce n’est pas encore pour tout de suite, puisque je serai officiellement en vacances le 7 septembre au soir.

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    Alors en attendant les vacances, j’ai la chance d’être en formation aux Gobelins, école réputée de l’image. Il s’agit d’une formation de 9 jours donc plutôt longue, servant de base à une formation pour devenir photographe « pro ». Nous abordons donc essentiellement de la technique. En gros on est pas là pour apprendre à composer une photo, mais uniquement à savoir régler l’appareil selon la situation. Et même éventuellement à choisir le bon boitier ! Je ne rentrerai pas dans les détails, mais après 3 jours, je suis déjà super contente de suivre cette formation. Et j’ai déjà beaucoup appris !

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    Le fait de suivre cette formation, c’est un avant-goût des vacances, car le cours débute à 14h. Ce qui fait que le matin, j’ai le temps ! Le temps de me réveiller « naturellement » sans radio-réveil, le temps de prendre mon petit-déjeuner et de me préparer sans avoir le nez sur la montre, le temps de déjeuner chez moi ce que j’aime, le temps de partir tranquillement pour la gare et de marcher d’un pas tranquille avec des talons sans stresser parce que je vais rater mon train… Bref j’apprécie énormément. Cela me conforte dans l’idée que je ne suis définitivement pas du matin Et cela me conforte également dans l’idée que bosser pour soi serait vraiment chouette ! Même si ce dernier point est loin d’être gagné…

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    Sinon, j’ai scrappé un peu, si vous voulez voir ça, allez donc faire un tour dans ma boutique Dawanda.

    Sans cela, je n’ai pas grand-chose d’autre à vous raconter ou à vous montrer, étant dans une sorte de « no shopping month » depuis juillet !

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    Allez en attendant, je vous laisse avec Danbo, qui est mon modèle préféré pour mes exercices de photos à la maison !

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    Bonne journée !

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    Moi mais pas que...

    Bonne fête Maman !

    Ces 3 petits mots, je ne les entendrai jamais…

    Je n’aurai pas d’enfant, c’est comme ça. Est-ce un choix personnel ? Pas vraiment…

    À 20 ans, je ne voulais pas d’enfant. Il faut dire que je ne savais pas ce que c’était qu’un bébé ! Je suis la plus jeune de ma famille, cousins et cousines compris. Je n’avais jamais fait de baby-sitting pour me faire de l’argent de poche. Le 1er bébé que j’ai « côtoyé », c’était mon neveu, j’avais 22 ans !

    Mais sait-on toujours ce qu’on veut à 20 ans ?

    À 30 ans, cela faisait 7 ans que j’étais en couple. J’ai eu envie de concrétiser ça par un enfant, mélange de lui et de moi. J’ai alors tout lu sur le sujet, afin d’optimiser mes chances de tomber enceinte rapidement. Mais force a été de constater que cela tardait… Au bout de 2 ans, et quelques examens, j’ai pris le « long » chemin des traitements médicaux. Pendant 5 ans, j’ai tout connu, les doutes, l’espoir, la tristesse, la colère, la fatigue,… Et puis un jour on m’a dit « c’est terminé, c’était votre dernière tentative prise en charge par la sécurité sociale ».

    C’est alors posé la question de « et maintenant ? »… Continuer les traitements à l’étranger ? Se tourner vers l’adoption ? Arrêter ?

    Finalement on a préféré s’arrêter. J’ai laissé tomber, j’ai lâché l’affaire ! J’étais fatiguée, physiquement et moralement… Je suis passée par une phase de tristesse bien sûr, très vite remplacée par de la colère. Cet enfant n’a pas voulu venir, et bien tant pis pour lui, je ferais ma vie sans lui ! Et puis j’ai accepté, j’ai commencé à penser à moi, à mon couple, à ma vie !

    Certain(e)s me trouveront égoïste, j’m’en fiche !

    Certain(e)s éprouveront de la pitié, qu’ils la gardent pour eux, je n’en veux pas.

    A l’aube de mes 40 ans, je vais très bien. Je ne juge pas les gens qui ont des enfants, alors qu’ils ne me (nous) jugent pas.

    Ma vie d’aujourd’hui me plaît telle qu’elle est. Et c’est bien l’essentiel !

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