L’autre jour j’ai posté sur les réseaux sociaux une photo des livres que j’avais terminés en demandant des suggestions pour les suivants. Le roman d’Agnès Martin-Lugand, Les gens heureux lisent et boivent du café est revenu à plusieurs reprises.
Culture
Les vacances approchent… Enfin ! Le voyage en Thaïlande se précise doucement mais sûrement.
J’ai acheté 2 guides, le Routard et le Lonely Planet, histoire de commencer à préparer le voyage (et il serait temps !). Pour le moment, nous savons que nous atterrissons à Bangkok, que nous voulons aller visiter le Nord du pays et terminer par quelques jours de repos sur une plage.
Pour celles qui me suivent sur Instagram, vous êtes déjà au courant : j’ai mangé mes premiers insectes ! Oui je sais dit comme ça, ça peut en dégoûter certaines… Mais en réalité, une fois l’appréhension de l’apparence passée, ça n’est pas si terrible que ça ! Jimini’s est la première gamme française d’insectes apéritifs assaisonnés et prêts à manger. C’est une bonne alternatives aux chips et autres curly, pleine de protéines et vitamines. Les insectes (essentiellement des criquets et des molitors) sont proposés en 5 saveurs : curry fruité, poivre & tomate séchée, soja impérial, sésame & cumin, et ail & fines herbes. Et je vous assure que c’est plus l’assaisonnement qu’on ressent en bouche. Alors pour un apéro fun entre amis, pensez aux insectes !
Je suis allée voir Saint Laurent de Bertrand Bonello, avec Gaspard Ulliel. Je n’avais pas vu Yves Saint Laurent de Jalil Lespert avec Pierre Niney donc je ne connaissais pas du tout la vie d’Yves Saint Laurent. Et bien je dois bien reconnaître que je ne m’attendais pas à cette vie-là ! Ne m’étant jamais intéressée de prêt comme de loin à cette époque, c’est clair que je ne m’étais jamais imaginé Yves Saint Laurent, complètement défoncé par les drogues et l’alcool. Je vous raconte pas le choc… ;-) Bon sinon, j’ai trouvé le film un poil long et ennuyeux, ne s’attardant que sur une partie de la vie du créateur et pour ma part, n’insistant pas assez justement sur ses créations. En revanche le jeu des acteurs est très bon. Mais bon je ne suis pas critique de cinéma… En tout cas, afin de ne pas rester sur cette vision d’un Saint Laurent, défoncé sur un chantier, je vais regarder très vite la version avec Pierre Niney !
Je continue à décorer notre salon. Je suis super contente, car j’ai enfin acheter une affiche du graphiste Jan Skácelík. Depuis le temps que je « bavais » devant sa boutique Etsy, sans oser commander. Et finalement j’ai profité du changement de décor de la boutique Curiosity, pour en acheter une à -20%. J’ai également trouvé chez Habitat un petit vase qui a fait mouche. Et hop, voilà le coin salle à manger qui prend une autre allure !
Bonne journée !
Aujourd’hui je vais vous parler (et j’espère vous donner envie) de l’exposition Roy Lichtenstein, que j’ai vue cet été. Et qui m’a enchantée… Bon faut dire que j’aime beaucoup le Pop Art alors forcément ça aide !
L’exposition regroupe plus d’une centaine d’œuvres et il s’agit de la première rétrospective complète de l’artiste. Le parcours de salle en salle est chronologique. On voit donc l’évolution de Lichtenstein et on se rend compte qu’au delà du côté un peu fun du pop art, il a revisité les plus grands artistes et mouvements, faisant de lui un véritable artiste postmoderne.
Il revisite les thèmes traditionnels du peintre, comme les paysages, la nature morte, l’atelier de l’artiste ou encore le nu. Véritable touche à tout, l’exposition présente également des estampes et des sculptures tout en couleurs.
Son style est efficace, fait de lignes nettes et de pointillés par milliers. Pourquoi des pointillés ? En fait il s’est inspiré d’agrandissements de trames d’imprimerie et de couleurs primaires. On a surtout en tête ses « comics » si célèbres. Mais durant la seconde moitié de sa vie, il a beaucoup dialoguer avec les grands maîtres comme Picasso, Matisse,…
Lors de cette expo, j’ai tout particulièrement aimé la dernière salle, donc ses dernières œuvres. Il a revisité le thème du paysage, en s’inspirant de peinturées chinoises. Beaucoup moins colorés que le reste de ses œuvres, il se dégage de ces tableaux, une véritable ambiance zen !
Si vous ne connaissez pas Roy Lichtenstein ou si vous souhaitez voir ses œuvres, vous avez jusqu’au 4 novembre pour vous rendre au Centre Pompidou.
Bonne journée !
Dimanche dernier, je suis allée au cinéma voir Jeune & Jolie, de François Ozon.
Le synopsis est le suivant : le portrait d’une jeune fille de 17 ans en 4 saisons et 4 chansons.
Je n’en savais pas tellement plus. Je n’avais vu aucune bande d’annonce du film, n’avais pas suivi le Festival de Cannes (je ne savais même pas qu’il était en sélection)… Tout ce que je savais, c’est que le réalisateur était François Ozon, que j’aime bien ce réalisateur, et que le sujet traitait de la prostitution.
François Ozon a voulu traiter le fait d’avoir 17 ans et de sentir son corps se transformer. La prostitution y est donc aborder de façon très « pudique », sans aucune perversion.
Isabelle, magistralement interprétée par Marine Vacth, vient d’avoir 17 ans. La sexualité la travaille, comme n’importe quelle adolescente à son âge. Nous allons la suivre durant une année, faire sa propre expérience du sexe, sexe pas encore connecté aux sentiments qui vont avec.
Chaque saison commence par le point de vue d’un des personnages qui entourent Isabelle (son petit frère, ses clients, sa mère, son beau-père) pour très vite revenir sur elle, imperturbable, impénétrable. Elle semble comme absente de sa vie. Elle se raconte sans émotion, impassible. Et c’est ce qui nous perturbe encore plus.
J’ai bien aimé ce film (mais j’aime beaucoup François Ozon de manière générale), qui ne juge pas, qui raconte uniquement une histoire d’adolescente. Les acteurs y sont tous très bien, très juste, Géraldine Pailhas en mère complètement perdue, et surtout Marine Vacth, aussi belle qu’énigmatique.
J’aurais juste aimé qu’il creuse un peu plus ses personnages, notamment Isabelle… Mais c’est son parti pris de réalisateur. En tout cas, on en ressort pas tout à fait la même qu’en entrant… A voir !
Bonne journée !
Le pitch : Et vous, quel est le truc le plus idiot que vous ayez fait de votre vie ? Au début, c’est à cause de son nom rigolo que Julie s’est intéressée à son nouveau voisin. Mais très vite, il y a eu tout le reste : son charme, son regard, et tout ce qu’il semble cacher… Parce qu’elle veut tout savoir de Ric, Julie va prendre des risques de plus en plus délirants…
Le pitch : 15 juillet 1988. Emma et Dexter se rencontrent pour la première fois. Tout les oppose, pourtant ce jour marque le début d’une relation hors du commun. Pendant vingt ans, chaque année, ils vont se croiser, se séparer et s’attendre, dans les remous étourdissants de leur existence…
Lorsque j’ai lu la 4ème de couverture, j’ai tout de suite eu envie de me plonger dans cette histoire. Durant vingt ans, on suit Emma et Dexter mais à travers la vision d’une seule journée, le 15 juillet. Une journée, c’est court ! Du coup, on a envie de savoir l’année suivante, où ils en sont dans leur relation. Sont-ils toujours amis ? Se sont-ils disputés ? Se sont-ils réconciliés ? Sont-ils (enfin !) ensemble ? Bref, on n’a qu’une envie c’est de savoir qu’est-ce qu’il se passe l’année suivante…
Je n’ai pas vu le film éponyme, mais je vous conseille fortement ce livre. C’est très bien écrit (et très bien traduit !). J’ai lu ce livre en quelques jours et j’ai vraiment beaucoup aimé cette histoire d’amour (car oui au final c’est une histoire d’amour…!). Il est des personnages dont on aime à les suivre, à les voir grandir, auxquels on s’identifie même parfois… Emma et Dexter en font partie.
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Ma note : .
Bonne journée !